Nos réalisations


Le Petit journal du Pied Bleu

C'est jeudi, le moment de tout savoir grâce à notre savoureuse infolettre. Avec le Petit journal du Pied Bleu, c’est comme si vous étiez dans notre cuisine, informés de nos projets, nos événements et nos produits.

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Étude de mesure d'impact économique du Grand Prix du Canada (GPF1)

La rédaction de l'étude de mesure d'impact économique du Grand Prix du Canada (GPF1) pour le compte de Tourisme Montréal, du ministère du Tourisme du Québec, de la Ville de Montréal et le Groupe de course Octane.

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Bordeaux bouillonne… et fait de l’œil aux PME québécoises

Les villes de Québec et Bordeaux sont jumelées d’un point de vue diplomatique, culturel et économique depuis plus d’un demi-siècle, 1962 pour être exact, et le rapprochement se poursuit alors que de nouveaux liens d’affaires ne cessent de se tisser.

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Cellunivers

Une chronique de notre client Cellunivers pour laquelle nous avons assisté à la rédaction.

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Groupe de travail sur l'avenir d'ExpoCité

Le mandat de rédiger pour le Groupe de travail sur l'avenir d'ExpoCité le rapport contenant les recommandations pour le site et qui fut remis à la Ville de Québec.

Le site d’ExpoCité est la propriété de la Ville de Québec depuis plus de 100 ans et a toujours eu une vocation en lien avec les expositions et les grands rassemblements en tous genres. Si en 2011 on célébrait le centenaire d’Expo Québec, connu sous le nom de l’Exposition provinciale de Québec jusqu’en 1968, on peut remonter jusqu’en 1898 pour la tenue d’expositions sur ces mêmes terrains.

Au fil du temps, le site d’ExpoCité a servi notamment à réunir les foules pour les sports amateurs et professionnels, les loisirs, la tenue de salons et d’expositions à vocation commerciale et agricole. L’emplacement était d’ailleurs à son origine aux limites nord de la ville, là où les terres agricoles prenaient le dessus sur la trame urbaine. L’administration du site a connu des périodes prospères et d’autres plus creuses. La construction de l’actuel Colisée Pepsi date pour sa part de 1949, à la suite de l’incendie du Palais de l’agriculture le 15 mars de cette même année.

« Cet édifice donne une nouvelle dimension à la Commission [de l’Exposition], qui consacrera dorénavant une bonne partie de ses énergies à la gestion et à l’entretien de ce grand Colisée […] ». L’arrivée des Nordiques en 1972 marqua le début d’une période de 23 années où le hockey aura été la principale source de revenus de la Commission. C’est en 1997 que l’appellation ExpoCité est adoptée par la Ville de Québec. Elle gère alors commercialement plusieurs bâtiments, dont le Centre de foires (construit en 1993), le Pavillon de la jeunesse, l’Hippodrome de Québec et le Colisée Pepsi. Des origines à aujourd’hui, le divertissement et les grands rassemblements, sous toutes leurs formes, ont toujours fait partie de l’histoire du site.

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L’ACCESSIBILITÉ ILLIMITÉE, PARTOUT ET TOUJOURS!

Informatique Mercier et Cellunivers innovent encore

Québec, le 30 octobre 2014. Deux entreprises de Québec, spécialisées dans les produits et services destinés aux gens d’affaires et aux particuliers, unissent leurs savoir-faire et leurs compétences sous un même toit. Ainsi, Cellunivers et Informatique Mercier deviennent partenaires au 4750, boulevard Wilfrid-Hamel à Québec. Cette nouvelle alliance permet le dévoilement des solutions CLICunivers, qui rendent enfin possible l’accessibilité informatique en tout temps et partout sur la planète.

Les deux compagnies sont réputées pour innover et la convergence entre le domaine de l’informatique et celui de la téléphonie mobile est devenue naturelle. Désormais, tous les appareils doivent pouvoir se parler, peu importe le fabricant, et les experts de Cellunivers et d’Informatique Mercier sont reconnus pour leurs grandes capacités à mettre de l’avant les meilleures solutions technologiques sur le marché. Les clients peuvent dorénavant avoir accès à leurs données et communiquer où qu’ils se trouvent, grâce aux offres combinées et exclusives des solutions CLICunivers..

Par l'entremise de la connectivité mobile, les deux partenaires sont les premiers à permettre l’accessibilité informatique en tout temps et en tout lieu, une nécessité en matière d’efficacité et de rentabilité au travail pour plusieurs entreprises. Les gens d’affaires de Québec peuvent bénéficier dès maintenant d’une tranquillité d’esprit et demeurer branchés, productifs et accessibles dans tous leurs déplacements en passant par les solutions CLICunivers.

Cellunivers et Informatique Mercier sont des entreprises reconnues et appréciées à Québec pour leurs savoir-faire. Elles possèdent la capacité d’offrir la gamme de produits la plus complète sur le marché des ordinateurs portables, des tablettes, de la téléphonie mobile et satellitaire, au plus grand bénéfice de leurs clientèles respectives.

Afin de souligner le grand dévoilement des Solutions CLICunivers en présence des représentants des médias, plusieurs personnalités du monde des affaires étaient conviées à un cocktail dînatoire commandité par Bell le 30 octobre dernier, sur le site rénové des deux entreprises. Également, pour toute la durée de cette fin de semaine, le public est invité à se rendre sur place où un chapiteau extérieur attendra les gens afin qu’ils puissent expérimenter la mobilité optimale avec le nouveau SAT-FI de Globalstar, soit un accès Wi-Fi par satellite. Ainsi, grâce à cet équipement moderne et performant, les visiteurs pourront utiliser leur iPhone et autre téléphone intelligent pour parler, texter ou naviguer sur le Web, peu importe leur emplacement.

Depuis maintenant 30 ans, Informatique Mercier se distingue par la qualité de son service ainsi que par la diversité de ses produits MAC et PC. Pour sa part, Cellunivers ajoutait dès 1992 des solutions et des produits permettant l’accès aux réseaux satellitaires afin de pallier à celui de la mobilité cellulaire qui connaît parfois des limites dans sa couverture. Aujourd’hui, une nouvelle expertise voit le jour avec l’alliance de ces champions des technologies de l’information et des communications, réunis sous un même toit!

Photo : Michel Desmeules


Fondation du Musée national des beaux-arts du Québec

Le plus grand projet de mécénat culturel de l’histoire de la ville de Québec prend forme!

Michel Desmeules

Surplombant les travaux de réfection de la Grande Allée, les ouvriers d’un chantier encore plus imposant s’activent et les contours du futur pavillon Pierre Lassonde du Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) prennent forme. Le résultat des travaux d’agrandissement promet de n’être rien de moins que spectaculaire et l'on peut d’ores et déjà prédire que le nouveau MNBAQ deviendra l’une des signatures culturelles et architecturales de Québec.

Avec ce nouvel ajout, le Musée pourra se targuer de s’étendre sur des bâtiments couvrant les périodes du XIXe siècle (l’ancienne prison), du XXe (le pavillon Gérard-Morisset inauguré en 1933) et du XXIe (l’actuel projet d’agrandissement). Qui plus est, le nouveau pavillon Pierre Lassonde sera le résultat de la tenue du premier concours d’architecture international à Québec remporté par l’architecte Rem Koolhaas de la firme hollandaise OMA. En tout, 15 000 m2 de superficie seront ajoutés et le MNBAQ gagnera 90 % en surface d’exposition.

Si ce projet porteur dans le domaine des arts, non seulement pour Québec, mais à l’échelle muséale nord-américaine, voit le jour, des remerciements tout particuliers doivent être adressés aux mécènes qui l’ont soutenu. « Le nouveau bâtiment et son insertion au Musée sont exceptionnels et son financement l’est tout autant », nous dit John R. Porter, président de la Fondation du MNBAQ. Car, bien que la Fondation ait ses lettres patentes depuis le début des années quatre-vingt-dix, elle se déploie depuis seulement cinq ans dans un cadre plus structuré, notamment avec l’embauche de Mme Annie Talbot à titre de directrice générale.

« Je crois que peu de gens aient vu venir la progression de la Fondation du MNBAQ. Nous sommes passés de quelques activités ponctuelles à la plus importante campagne de philanthropie culturelle que la ville de Québec ait connue », raconte M. Porter. Ainsi, sur un budget total de 103,4 millions $ pour le nouveau pavillon Pierre Lassonde, 24,6 millions $ proviendront de dons et la Fondation amasse huit millions $ supplémentaires qui serviront à la pérennité du MNBAQ et à la mise en œuvre de programmes éducatifs. La construction du pavillon Pierre Lassonde a d’ailleurs reçu le support financier du gouvernement du Québec, du gouvernement du Canada, de la Ville de Québec, de grandes corporations et de nombreux particuliers contribuant avec des sommes conséquentes à la concrétisation de ses projets.

Le calibre des gens qui choisissent de s’impliquer activement au sein de la Fondation du MNBAQ est impressionnant. À eux seuls, les trois coprésidents du cabinet de campagne accordent une crédibilité immédiate à la démarche. MM. Pierre Lassonde, président du conseil de Franco-Nevada Corporation, Yvon Charest, président et chef de la direction d’Industrielle Alliance et Jacques Ménard, président de BMO Groupe financier sont de grands ambassadeurs qui contribuent à assurer le succès de la Fondation dans ses différentes initiatives.

Or, la philanthropie n’est pas uniquement une affaire de grands donateurs au MNBAQ, l’appropriation du Musée et de son projet d’agrandissement par le grand public est capitale aux yeux de ses dirigeants. La Fondation s’active en effet à rejoindre le plus de monde possible et offre un éventail de possibilités quant à la manière d’apporter sa contribution. L’une des dernières en liste est le don planifié, qui le plus souvent se fait sous la forme d’un legs. Cette pratique, qu’on observait surtout auparavant dans le domaine de la santé, se répand progressivement dans d’autres types d’institutions.

À ce titre, on remarque que la philanthropie au Québec comble son retard par rapport au Canada anglais et aux États-Unis où la tradition du don est plus implantée. À savoir s’il est plus difficile de solliciter pour le secteur des arts ou de la culture en comparaison à d’autres tels que ceux de la santé, de l’éducation ou encore l’aide aux plus démunis, Mme Talbot reconnaît une différence dans l’approche des donateurs potentiels.

« Bien sûr, nous nous devons d’avoir un dossier solide entre les mains, mais je crois qu’il faut également se montrer plus pédagogue afin de dresser le portrait exact du Musée, de ses actions et de sa contribution à la communauté. Ceci étant dit, la culture a définitivement sa place dans le milieu philanthropique et s’il est vrai que les besoins sont immenses dans notre société, nous croyons que les gens ne donnent pas spécifiquement en fonction de ceux-ci, mais parce qu’ils partagent la vision de l’organisme auquel ils choisissent de contribuer et c’est là toute la différence », soutient-elle.

Ainsi, l’appropriation du MNBAQ par la communauté est déterminante pour la réussite de sa Fondation. Tout le monde est invité au Musée, un lieu qui se veut un outil de partage avec la collectivité et pour lequel il est possible de témoigner de son attachement de multiples façons. Il y a notamment le don de petits et de plus gros montants par le public. On note aussi le Cercle 179, qui rassemble de jeunes professionnels de divers milieux et les prépare à assumer la relève philanthropique de la Fondation. Les marches des bâtisseurs sont également au nombre des initiatives. Lancées en mars 2014, elles se veulent un gage de reconnaissance que l’on propose aux donateurs en conservant une trace durable de leur engagement par l’inscription de leurs noms sur les marches de l’escalier architectural qui sera situé au cœur du pavillon Pierre Lassonde.

Alors que seulement 2 % des œuvres du MNBAQ est présenté aux visiteurs (la norme des grands musées internationaux est de 12 % à 15 %), l’important gain en superficie que réalisera le Musée aura un impact indéniable sur l’expérience des gens qui découvriront le nouveau pavillon et son rattachement à la partie actuelle de l’institution. Cette réussite contribuera au rayonnement de la capitale et sera assurément une grande source de fierté pour ses citoyens. Le pavillon sera le symbole éloquent des sommets auxquels la philanthropie peut nous mener et pour la Fondation du MNBAQ, il sera un tremplin pour assurer un leadership fort à ce haut lieu de la culture québécoise.

Photo : MNBAQ, Idra Labrie


Hôpital vétérinaire de Charlesbourg

Un nouveau bâtiment, plus grand et offrant plus de services, pour l'Hôpital vétérinaire de Charlesbourg.

Québec, le 20 juin 2014. Entourée de toute son équipe, la docteure Danielle Dubois de l’Hôpital vétérinaire de Charlesbourg a procédé à la pelletée de terre protocolaire marquant le début des travaux de construction de son futur établissement, à l’intersection du boulevard Louis-XIV et du boulevard du Loiret à Québec, soit à environ 800 m. à l’est du site actuel de l’hôpital.

L’inauguration s’est faite en présence de nombreux invités, dont la députée fédérale de Charlesbourg – Haute-Saint-Charles et porte-parole adjointe en matière de travaux publics et services gouvernementaux, Mme Anne-Marie Day, le député de Charlesbourg et ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, M. François Blais, le conseiller du district électoral de Saint-Rodrigue et président de l’arrondissement de Charlesbourg, M. Vincent Dufresne, et le conseiller du district électoral des Monts et membre du comité exécutif de la Ville de Québec, M. Patrick Voyer.

La construction du nouvel hôpital permettra un gain en superficie, et ce, de manière importante. Des 1 800 pi2 que comptent présentement les locaux, l’équipe en disposera de 5 000 pi2 à l’avenir. L’investissement totalisant 1,3 million $ provenant entièrement de fonds privés servira à ériger, grâce à l’expertise de Construction Dutran Inc, un immeuble qui répondra davantage aux besoins des propriétaires d’animaux de compagnie et des professionnels leur prodiguant des soins.

Une dizaine d’employés sont actuellement au service de l’Hôpital vétérinaire de Charlesbourg et ce chiffre grimpera à 14 une fois les travaux complétés. En plus des soins apportés aux animaux, le nouvel hôpital offrira un espace boutique destiné à la vente de produits et où on livrera de judicieux conseils à la clientèle. « Cette journée marque une grande étape pour l’Hôpital vétérinaire de Charlesbourg. Cela fait plus de 20 ans que j’y œuvre et je suis impatiente de pratiquer mon travail de vétérinaire dans ce nouvel environnement. C’est pour moi un immense honneur que de voir à la réalisation de ce projet et à l’amélioration des services aux animaux de manière générale », a déclaré Dre Danielle Dubois.

La Clinique vétérinaire de Charlesbourg a ouvert ses portes en 1975. Depuis 1994, elle possède le titre d’hôpital vétérinaire à la suite du rachat par deux vétérinaires employés, dont Dre Danielle Dubois. En 1998, Dre Dubois devient la seule propriétaire. La construction du nouvel hôpital sera le troisième déménagement de l’établissement qui occupe ses présents locaux depuis 2000. À nouveau, dans le but de moderniser l'espace de travail et les facilités d’accueil et afin d’offrir un service professionnel et personnalisé dans un environnement chaleureux, l’Hôpital vétérinaire de Charlesbourg emménagera dans un édifice neuf qui sera complété pour l’automne 2014.

Photo :

Hôpital vétérinaire de Charlesbourg (photo : Julie Boulanger).


Nouveau concessionnaire à L’Ange-Gardien

Ford poursuit sa croissance dans la région de Québec

Michel Desmeules

Les présences à Québec de Mme Dianne Craig, présidente et chef de la direction chez Ford du Canada, sont parsemées, c’est le moins que l’on puisse dire. Or, il n’a pas été question pour cette femme d’affaires de manquer sa visite dans la région, alors que le constructeur effectue un retour spectaculaire dans le marché de l’automobile et que ses ventes à Québec et au Québec sont en hausse marquée depuis quelques années. À preuve, l’ouverture d’un nouveau concessionnaire à L’Ange-Gardien et la cérémonie de coupure du ruban de l’immeuble rénové de JL Desjardins Auto Collection sur la rue Marais figuraient à son agenda lors de son déplacement dans la Capitale, le 3 décembre dernier.

La période de restructuration fut difficile, plusieurs usines ont dû fermer leurs portes, des milliers d’employés se sont retrouvés à la rue, mais cela est maintenant de l’histoire ancienne alors que le constructeur reprend le haut du pavé. « Ford n’est plus seulement reconnu pour la fabrication de bons pick-up et son légendaire modèle Mustang. Partout au Canada et spécialement au Québec, on observe de plus en plus de Fiesta, de Fusion et de Focus circuler sur les routes », se réjouit Mme Craig. « De bons produits, c’est évidemment essentiel à notre succès, mais ça prend également des concessionnaires solides et bien implantés dans leur communauté. À ce titre, la famille Desjardins est un exemple à suivre qui fait la fierté de Ford du Canada », a poursuivi la présidente.

Propriétaire du nouveau concessionnaire Ford à L’Ange-Gardien, de même que d’Auto Collection et de Desjardins Ford Sainte-Foy, M. Jean-Luc Desjardins, soutient que Québec est maintenant un grand marché pour Ford et que le volume est là pour le prouver. « C’est important de bien desservir notre clientèle et les investissements des dernières années sont le reflet d’une hausse de nos ventes pas seulement ici, mais partout au Québec. Il y a deux ans à peine, Ford se classait 5e ou 6e parmi les manufacturiers de la province alors que pour 2013 nous allons terminer 1er ou 2e à l’échelle du Québec et 1er pour l’ensemble du Canada. C’est tout un revirement, surtout lorsqu’on pense à où nous étions il y a 10 ans. Il faut donner le crédit aux concepteurs qui ont mis sur le marché des produits mieux adaptés à notre réalité », affirme M. Desjardins.

Et si on se tourne vers l’avenir, comment l’entreprise voit-elle le futur des modèles hybrides et les voitures électriques? « Ford serait en mesure de produire des véhicules hybrides et des voitures électriques rapidement si la popularité explosait pour ce type d’automobiles. Nous avons une usine d’assemblage pour les modèles Fusion et C-Max qui est déjà prête pour ce jour, mais pour l’instant la demande n’est pas là. Sans un volume de vente appréciable, la technologie demeurera dispendieuse et il y a également la question des infrastructures qui doit être abordée afin de s’assurer qu’il y ait suffisamment de bornes de recharges pour assurer l’autonomie des véhicules sur de grandes distances. Or, je dois reconnaître que le gouvernement du Québec a pris un certain leadership sur cette question et qu’on espère voir ses initiatives reprises dans d’autres juridictions », conclut Mme Craig.

Photo :

Mme Dianne Craig, présidente et chef de la direction chez Ford du Canada et M. Jean-Luc Desjardins, propriétaire du nouveau concessionnaire Ford à L’Ange-Gardien (photo : Michel Desmeules).


Équipe Labeaume

Équipe Labeaume lance officiellement sa campagne

Michel Desmeules

Québec, le 22 septembre 2013 – Le président d’Équipe Labeaume, M. Régis Labeaume, a prononcé le discours d’ouverture de sa campagne pour sa réélection à la mairie de la Ville de Québec ce matin. En présence de ses 21 candidats et candidates, il a dévoilé la thématique de son équipe d’ici au scrutin du 3 novembre prochain, « Pour une ville fière et forte » et mis de l’avant les principaux enjeux pour les prochaines semaines.

« L’objectif premier d’Équipe Labeaume a toujours été de faire de Québec une ville fière et forte! Ainsi, d’ici le 3 novembre prochain, nos priorités seront de deux ordres. Tout d’abord, nous soumettrons aux citoyens et citoyennes des projets par arrondissement pour l’ensemble de la ville. Ces dernier sauront comme objectifs d’améliorer localement la qualité de vie des résidents de chaque quartier afin qu’ils en vivent les bénéfices directs et quotidiens. D’autre part, nous entamons aujourd’hui un dialogue avec la population de Québec. Nous demandons aux citoyens et aux citoyennes de nous accorder un mandat fort afin d’apporter des changements justes et appropriés aux conventions collectives existantes entre la Ville et ses employés et un partage plus équitable du paiement des déficits des fonds de retraite », a résumé M. Labeaume.

La présente campagne électorale sera un moment important pour Équipe Labeaume qui souhaite faire comprendre au gouvernement du Québec l’urgence d’agir à laquelle sont confrontées les municipalités. Elles doivent revoir les pratiques, les pouvoirs et les outils dont elles disposent en matière de relation de travail. «Il est primordial que les électeurs s’expriment sur cet enjeu. Nous leur expliquerons que seul un appui fort à nos propositions pourra envoyer le message au gouvernement que des changements aux lois régissant les relations de travail sont essentiels à notre avenir », a déclaré M. Labeaume lors de son allocution.

Le président de la formation politique et ses candidats et candidates iront à la rencontre de la population dans les jours et semaines à venir. Ils expliqueront les enjeux et répondront aux questions des citoyens et des citoyennes de chaque arrondissement. Équipe Labeaume invite la population à suivre avec intérêt la prochaine campagne électorale alors qu’il sera amplement question de l’avenir financier de la Ville de Québec.

Pour informations ou entrevues :
Michel Desmeules
equipelabeaume@bellnet.ca
418-683-7997


OZALIK

Le spectacle multidisciplinaire des Hurons-Wendat reprendra l’affiche en 2013

Michel Desmeules

Pour un troisième été, l’amphithéâtre extérieur de Wendake vibrera chaque soir au rythme du spectacle OZALIK, une œuvre multidisciplinaire où la musique, le théâtre, la danse et le cirque se côtoient. Le spectacle est construit autour d’une trame narrative qui fait référence à la mythologie autochtone, à l’importance de préserver sa culture et son héritage ancestral, et les spectateurs ont l’occasion de se familiariser avec les repères identitaires des Hurons-Wendat sans pour autant sombrer dans les clichés folkloriques.

Le metteur en scène et l’un des sept musiciens présents sur scène,
M. Gaétan Siouï, entretient de grandes ambitions pour OZALIK. Il souhaite voir le récit de « la prophétie de la 7e génération, le feu sacré pour la sauvegarde de la planète et pour l'humanité » prendre un jour la route. La priorité demeurera toutefois la présentation estivale du spectacle sur le territoire de la Nation huronne-wendat, conformément au virage récréotouristique entrepris par celle-ci depuis quelques années.

L’édition 2012 d’OZALIK fut bonifiée, notamment par la mise en valeur du talent des 20 artistes sur scène. La musique allie celle traditionnellement associée aux peuples amérindiens à un rock progressif plus moderne. Les numéros de cirque en mettent plein la vue aux spectateurs et ceux-ci peuvent apprécier et admirer des prouesses athlétiques de haut niveau. Il faut dire que l’amphithéâtre extérieur de Wendake, qui peut accueillir jusqu’à 400 personnes, favorise la proximité entre les artistes et le public.

L’édition 2013 sera présentée du 23 juillet au 17 août. Il est encore trop tôt pour s’avancer sur d’éventuels changements incorporés dans la prochaine mouture d’OZALIK, mais un fait demeure, le spectateur est assuré de passer une agréable soirée en compagnie d’artistes de qualité et le tout représente un attrait indéniable qui s’ajoute à l’offre touristique régionale.

Photo :

Une scène tirée du spectacle OZALIK en 2012, qui reviendra du 23 juillet au 17 août 2013 à l’amphithéâtre extérieur de Wendake (crédit photo : Michel Desmeules).


CANAC

3,5 millions $ en travaux pour rénover et agrandir la succursale de Canac à L’Ancienne-Lorette

Michel Desmeules

En présence de nombreux invités et quelques dignitaires, le président de Canac, M. Jean Laberge, a marqué, lors d’une brève cérémonie le 3 avril dernier, la réouverture officielle de la succursale de L’Ancienne-Lorette après six mois de rénovation. Les travaux, qui se sont échelonnés d’octobre à mars, pour un coût de 3,5 millions $, ont permis de revamper entièrement la quincaillerie située sur le boulevard Wilfrid-Hamel, à deux pas du siège social de l’entreprise, et d’y faire passer la surface de vente de 19 000 pi2 à 28 000 pi2. Du coup, le magasin devient le plus imposant des 22 succursales Canac que l’on retrouve dans la province.

À mi-chemin entre la petite quincaillerie de quartier et les magasins entrepôts, l’établissement rénové de L’Ancienne-Lorette demeure à l’image des succursales Canac, une niche dans ce secteur d’activité qui convient aux goûts et aux besoins des consommateurs, aux dires de M. Laberge. « La concurrence est féroce dans ce domaine et notre philosophie est de nous placer au-devant de la parade. C’est pourquoi nous devons nous montrer dynamiques, agressifs et concurrentiels dans notre approche pour tirer notre épingle du jeu. Nous avons la réputation d’offrir le meilleur service et de vendre moins cher que nos compétiteurs, c’est ce qui a fait notre succès et c’est la formule que nous comptons continuer à appliquer », explique le président de Canac.

Le nouveau Canac de L’Ancienne-Lorette profitera de l’espace supplémentaire pour mettre à la disposition de ses clients une gamme de produits toujours plus variés, tant dans la quincaillerie, la plomberie, l’électricité, les outillages, la peinture, les couvre-planchers, les produits de finition, les matériaux de construction, les accessoires de décoration, les articles saisonniers que dans son centre jardin. De plus, la succursale mise désormais sur une salle de montre beaucoup plus vaste pour l’achat de portes et fenêtres ainsi qu’une cour à bois possédant un entrepôt additionnel de 15 000 pi2, toujours dans l’esprit d’améliorer l’expérience du client en magasin.

Les services aux entrepreneurs et aux autoconstructeurs ne sont pas en reste, alors que le département destiné à les accueillir fut entièrement repensé et reconfiguré, toujours dans le souci de mieux les servir. Dans son allocution lors de la réouverture officielle, M. Laberge a tenu à souligner la collaboration exemplaire de la municipalité de L’Ancienne-Lorette afin de faciliter l’obtention des permis d’agrandissement de la succursale. Malgré la compétition importante dans le domaine, Canac a présentement le vent dans les voiles et observe une augmentation croissante de ses parts de marché.

Photo :

Succursale – (crédit photo : Canac).


Groupe Levasse

Rédaction de site Internet

Trait de génie, c'est également un service de rédaction pour les sites web des entreprises tels celui-ci pour la compagnie de transport et la livraison de biens et de marchandises située à Lévis, le Groupe Levasse.

Groupe Levasse.com



Déjeuner des médias

Trait de génie conçoit et rédige des textes devant être lus lors d'événements corporatifs, de conférences et de galas. Nous sommes fiers d'avoir contribuer à la réussite du XIXe Déjeuner des médias par l'écriture des textes de présentation des personnes en nomination pour les divers prix remis à cette occasion.


Dossier spécial Juin 2013

Mentorat

Le métier d’entrepreneur nécessite de bonnes aptitudes pour la résolution de problèmes, des plus anodins à ceux qui vous donnent des cheveux gris. Mais que faire lorsqu’on frappe un nœud? Quel que soit l’angle sous lequel on l’aborde, l’obstacle demeure entier et les interrogations s’intensifient. Vers qui se tourner alors?

Les statistiques sont claires, le mentorat d’affaires augmente du double, et parfois davantage, les chances de survie d’une entreprise.

Il n’y a pas de modèle unique à la relation qu’un entrepreneur devrait entretenir avec son mentor, que ce soit au chapitre de la fréquence des rencontres, de l’étendue des sujets abordés et de la portée des conseils, chacun a sa façon de procéder. L’essentiel est ailleurs, le mentorat d’affaires est avant tout une relation de confiance entre professionnels(elles) qui se respectent mutuellement.

Le Journal Chefs d’entreprises fera le point sur cette pratique de plus en plus répandue de jumelage entre un entrepreneur, pas nécessairement jeune en âge, mais encore à ses débuts en affaires, avec un entrepreneur aguerri. Le tissu économique québécois ne peut que bénéficier de cette tendance, les entreprises gagneront en maturité et reposeront sur des assises plus solides. Le mentorat d’affaires sous tous ses angles, c’est à découvrir dans l’édition de juin 2013 du Journal Chefs d’entreprises.

Sujets abordés

  • Le mentorat d’affaires, c’est pour qui? Tout ce qu’un entrepreneur devrait savoir sur le sujet.
  • Feriez-vous un bon mentor? Qualités et disponibilités requises.
  • Doit-on être à la tête d’une grosse entreprise pour faire appel aux conseils d’un mentor?
  • Jusqu’où un mentor doit-il aller dans sa relation d’accompagnement avec le mentoré?

PROMOTION ESTIVALE 2013

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Réservation publicitaire : 28 Mai 2013

Parution : 4 Juin 2013